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C'est dans la colonne de droite tout en bas...

31 octobre 2014 5 31 /10 /octobre /2014 14:47

Après la Suède en 1997, la Norvège, l’Islande et la Corée du Sud, voici maintenant que le Canada et l’Irlande du Nord s’engagent contre le système prostitueur en adoptant une loi qui prévoit de pénaliser les clients-prostitueurs, mais non les personnes prostituées.

Au Canada, la loi C36 adoptée le 13 octobre 2014 introduit la criminalisation des « acheteurs de services sexuels » et rétablit celle des proxénètes et des entremetteurs, notamment les vendeurs de publicités sur papier ou en ligne pour ces « services » ; la vente de « services sexuels » ne sera pas traitée comme un acte criminel, sauf si elle a lieu à proximité de parcs, d’écoles ou d’établissements religieux.

En Irlande du Nord, dans le cadre d’un projet de loi sur la traite d'êtres humains, le parlement a approuvé le 21 octobre 2014 un amendement qui prévoit de pénaliser les « clients » de prostituées. Ce texte doit encore être soumis à deux votes parlementaires. L'Irlande du Nord, où les bordels et le proxénétisme sont interdits, est la première région du Royaume-Uni à voter une telle interdiction.

En France, la proposition de loi dont une disposition (la seule dont on ait débattu dans les médias) prévoit de pénaliser les clients-prostitueurs a été adoptée par l’Assemblée nationale le 4 décembre 2013, et doit encore être votée par le Sénat.

Zéromacho Des hommes contre la prostitution et pour l’égalité dénonce un scandale, voyez le site http://zeromacho.wordpress.com/2014/10/28/senat-zeromacho-revele-une-manipulation/, ainsi que « Bidouillages au Sénat », article de Gérard Biard dans Charlie-hebdo :

La proposition de loi contre le système prostitutionnel, votée à l’Assemblée nationale, tarde à être inscrite à l’ordre du jour du Sénat. Pour ses opposants, tous les moyens sont bons. L’exemple suédois démontre le contraire : le 20 mai 2014, la commission spéciale du Sénat auditionnait le Suédois Simon Häggström, inspecteur chef de la brigade anti-prostitution de Stockholm et témoin capital pour juger de quinze années d’application de la loi pénalisant les clients-prostitueurs, mais le compte rendu de son intervention a été tronqué et falsifié sur plusieurs points importants. En résumé, voici les trois arguments centraux pour s’opposer à la pénalisation des « clients », et les réponses suédoises. 

* la mise en danger des personnes prostituées que la pénalisation aggraverait encore :

-> l’inspecteur affirme (vidéo à 30’) : 

« Les femmes prostituées disent que la Suède est un pays plus sûr que les autres. Beaucoup ont vendu du sexe avant, dans d’autres pays européens, et elles disent que les Suédois qui viennent les voir ont très peur, parce qu’ils savent que la police les recherche, et savent qu’il faut qu’ils se conduisent bien parce que s’ils se conduisent mal, la femme peut appeler la police sans être punie, sans encourir aucune pénalité

* Le déplacement de la prostitution en dehors des villes ou à l’étranger

-> L’inspecteur nous dit à propos des mythes répandus :

« Une critique est que la loi conduira les clients vers d’autres pays : c’est en partie vrai, car 70 % des clients disent que leur achat précédent s’est fait dans un autre pays. Mais c’est la preuve que la loi marche parce que les Suédois n’osent pas acheter du sexe en Suède. C’est pour cela qu’il faut que plus de pays adoptent cette législation ou une législation similaire. »

* L’impossibilité de trouver les « clients » contrevenants et de prouver leur culpabilité

-> L’inspecteur témoigne :

« 8 clients sur 10 admettent le crime immédiatement sur les lieux d’arrestation. Sans même que nous ayons eu à les conduire au poste de police. ».

En France, Rosen Hicher, ancienne prostituée, a marché pendant 740 km, et est arrivée devant le Sénat le 12 octobre 2014 pour demander l’inscription à l’ordre du jour  de la proposition de loi. Des membres du collectif Abolition 2012, dont fait partie Zéromacho, se sont joints à elle pendant plusieurs étapes de sa marche et l’ont accueillie à son arrivée à Paris.

Malgré la marche de Rosen, couverte par de nombreux médias, malgré le travail persévérant d’Abolition 2012, aucune date n’a encore été fixée pour le vote au Sénat.

Fondé en 2011, Zéromacho, réseau international d’hommes, groupe les signataires d’un manifeste contre le système prostitueur et pour l’égalité femmes-hommes (2 714 hommes de 56 pays)  Responsables : Gérard Biard, Patric Jean et Frédéric Robert

80 quai de Jemmapes 75010 Paris  info.zeromacho@gmail.com   site http://www.zeromacho.eu/

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28 octobre 2014 2 28 /10 /octobre /2014 09:04

Une tribune collective rassemblant journalistes, universitaires et écologistes, publiée samedi 25 octobre 2014 sur Reporterre et Libération, http://www.reporterre.net/spip.php?article6405, par François Jarrige, avec Dominique Bourg, Joël Decarsin, Alain Gras, Jean-François Herouard, Hervé Kempf, Frédérick Lemarchand, Noël Mamère, Agnès Sinaï, et Hélène Tordjman.

 

Le projet de Jérémy Rifkin, célébré par les médias, est séduisant. Mais un examen attentif dévoile les contradictions d’une pensée qui tend à « éviter les remises en cause, résorber les contestations qui s’élèvent (...), en renouvelant l’utopie des technologies salvatrices qui résoudront naturellement tous les problèmes. »


Le dernier livre de Jérémy Rifkin, La troisième révolution industrielle, est ces jours-ci très abondamment commenté dans la presse alors que son auteur multiplie les conférences grassement payées et les entrevues avec les puissants.

Le succès foudroyant de cette expression "troisième révolution industrielle" n’est pas sans rappeler la formule, très à la mode dans les années 1970, de "société post-industrielle". Mais quelle est exactement sa fonction ? Que recouvre t-elle ? Et surtout, derrière son évidence apparente, que dissimule-t-elle ?

Un constat juste et partagé...

L’idée de troisième Révolution Industrielle part d’un constat apparemment juste : ce sont les lois de l’énergie qui gouvernent l’activité économique, or la crise actuelle marque l’essoufflement des trajectoires énergétiques du passé. L’énergie fossile et les terres rares qui ont fait le succès économique de notre civilisation s’épuisent. La dette entropique issue de l’activité économique passée s’accumule beaucoup plus rapidement que la biosphère n’est capable de l’absorber.

« Cette situation grave nous force à réévaluer fondamentalement les postulats qui ont guidé notre conception de la productivité. Désormais, il faudra mesurer celle-ci d’une façon qui prendra en compte à la fois l’efficacité thermodynamique et les conséquences entropiques », souligne Rifkin. Ce constat est connu et accepté, c’est lorsqu’il livre ses solutions que le prospectiviste étasunien devient un habile prestidigitateur, voire un dangereux prophète de l’abîme.

... pour une fausse solution

Comme la première Révolution industrielle qui serait née au XIXe siècle de la machine à vapeur et de l’imprimerie, ou la deuxième qui aurait vu au XXe siècle la convergence du moteur à combustion avec la communication électrique, la troisième Révolution Industrielle devrait surgir naturellement de la « jonction de la communication par internet et des énergies renouvelables », nous explique Rifkin.


- Imprimante 3D -

Elle sera arrimée sur une série de technologies plus ou moins futuristes comme l’hydrogène et les imprimantes 3D qui doivent permettre de transformer chaque immeuble en usine et en micro-centrale, mais aussi sur l’utilisation optimale des énergies renouvelables grâce à des « réseaux intelligents ».

Pourtant, cette prospective qui réjouit les gouvernements et les dirigeants des grandes entreprises n’est qu’une fable, pire elle nous enferme dans des impasses en continuant de croire que les solutions du passé résoudront les problèmes du présent.

Un mythe

La « Révolution Industrielle » fonctionne d’abord comme un mythe, elle est un élément de la propagande ordinaire qui cherche à adapter les vieilles lunes industrialistes à l’heure de l’écologie. A l’inverse, nous annonçons que la Troisième Révolution industrielle n’aura pas lieu !

D’ailleurs, les deux premières qui sont censées l’avoir précédée n’ont pas eu lieu non plus. L’expression « Révolution industrielle » a été forgée vers 1830 par des économistes marqués par le souvenir de la Révolution de 1789 pour décrire les mutations de l’économie anglaise, mais c’est d’emblée un mythe qui insiste sur le rôle déterminant des techniques (la vapeur), le « génie » de quelques inventeurs (James Watt) et la rapidité du processus.

Tous les travaux historiques ont montré depuis qu’il ne s’agissait pas d’une révolution, que le processus fut au contraire lent et graduel, très variable, que la machine à vapeur n’occupa pendant longtemps qu’un rôle très secondaire et marginal.

Une vision simpliste des technologies

La thèse de la 3e révolution Industrielle et tous ceux qui vantent le capitalisme numérique, restent enfermés dans une vision simpliste des technologies et de leurs effets.

Ils oublient de penser les rapports de pouvoir, les inégalités sociales, les modes de fonctionnement de ces "macro-systèmes" comme les enjeux de l’autonomie des techniques et des technosciences, sans parler de la finitude des ressources et de l’ampleur des ravages écologiques réels de ce capitalisme soi-disant immatériel.

Malgré la fausseté et le simplisme de son analyse, il n’est pas surprenant que tout le monde célèbre Rifkin et ses prophéties. Grâce à son rêve technologique il n’est plus nécessaire de penser aux impasses de notre trajectoire, à nos vrais besoins, il suffit de s’en remettre aux grandes entreprises, aux experts et aux entrepreneurs high tech de toutes sortes qui vont nous offrir les solutions techniques pour sortir de l’impasse.

Un projet illusoire et contradictoire

Outre que ce projet intellectuel est largement illusoire, il est aussi anti-démocratique car il s’appuie sur les experts et les seuls décideurs en laissant de côté les populations invitées à se soumettre, à accepter avec reconnaissance le monde ainsi vanté dans les médias.

C’est un des paradoxes de cette « Troisième révolution industrielle » : censée promouvoir un pouvoir « latéral », décentralisé et coopératif, elle fait appel à des forces hautement capitalistiques.

Censée réduire les consommations d’énergie, elle repose sur des systèmes numériques hautement sophistiqués, virtuellement centralisés et dévorateurs de métaux rares, via des serveurs géants actionnés par une poignée d’entreprises mondiales qui récoltent au passage des données personnelles sur les heureux utilisateurs.

Censée reposer sur la généralisation des énergies renouvelables, elle ne calcule ni la matière ni l’énergie nécessaires pour édifier ces machines. Cette nouvelle utopie technicienne est hors sol et invente un nouveau mythe qui rejoint celui de la transition énergétique, conciliant l’inconciliable : croissance verte autoproclamée et pénurie de matière, entropie et expansion miraculeuse des énergies, liberté individuelle et société de contrôle.

Une "révolution" rassurante qui ne change rien

Mais peut-être est-ce le secret de l’annonce répétée de la « Troisième Révolution industrielle » : éviter les remises en cause, résorber les contestations qui s’élèvent aujourd’hui en renouvelant l’utopie des technologies salvatrices qui résoudront naturellement tous les problèmes.

Le succès du rêve de Rifkin vient en définitive de son aspect rassurant, de ce qu’il nous berce d’illusions, il est le visage intellectuel de la technocratie écologique en gestation. Il correspond au désarroi d’une immense majorité de nos contemporains qui attendent des techniciens qu’ils façonnent le nouveau monde clés en main, en les dotant toujours plus en smartphones et en écrans plats.

Cette nouvelle servitude volontaire vient peut-être de ce que nous sommes toujours plus avides de confort et aussi toujours davantage privés du goût de la vraie liberté : celle dont il est possible de jouir sans la moindre prothèse et sans le moindre risque d’addiction.


Source : Courriel à Reporterre. Ce texte a aussi été publié par Libération en accord avec les auteurs et avec Reporterre.

François Jarrige est historien, Dominique Bourg est professeur à l’université de Lausanne, Joël Decarsin est membre fondateur de Technologos , Alain Gras est Socio-anthropologue des techniques à l’université de Paris-I, Jean-François Hérouard est maire-adjoint à l’aménagement durable de Cognac, Hervé Kempf est rédacteur en chef de Reporterre, Frédérick Lemarchand est socio-anthropologue, Noël Mamère est député de Gironde, Agnès Sinaï est fondatrice de l’Institut Momentum sur l’anthropocène, et Hélène Tordjman Maître de conférence en économie

Photos :
. Chapô : Wikipedia (CC BY-SA 2.0/Stephan Röhl)
. Machine à vapeur : Wikipedia
. Puce : RT Flash
. Imprimante 3D : Wikipedia

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16 octobre 2014 4 16 /10 /octobre /2014 15:02

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Venez tirer un premier bilan de la loi sur la transition énergétique et tracer les perspectives de la mobilisation citoyenne et politique en vue de la conférence de Paris sur le climat qui aura lieu dans un an avec l'ensemble de la famille écologiste réunie (associations, ONG...) et croiser nos regards sur le défi climatique et la crise énergétique avec les autres formations de gauche et les syndicats.

Ce sera à Mains D'oeuvres (St Ouen) 1 rue Charles Garnier, 93400 Saint-Ouen, M° ligne 4 Porte de Clignancourt ou ligne 13 Garibaldi,          samedi 18 octobre après-midi entre 14 et 20h.
Un forum associatif, un espace librairie et des performances artistiques sont également prévus. Des ateliers ludiques pour accueillir les enfants sont prévus.

Participeront aux débats  :
Denis Baupin (député, rapporteur de la loi sur la transition énergétique)
Célia Blauel (adjointe au DD et au Plan climat énergie de la Ville de Paris)
Yves Cochet (ancien Ministre de l’Environnement)
Emmanuelle Cosse (secrétaire nationale d’EELV) -sous réserve-
Pascal Durand (député européen)
Hervé Kempf (journaliste et essayiste, ReporTerre)
Jean Jouzel (climatologue, membre du GIEC)
Pierre Larouturou (fondateur de Nouvelle Donne)
UnE representantE du Pg, du PS et d'Ensemble
Pierre Radanne (ancien pdt de l’ADEME, négociateur à la conférence climat)
Et Enercoop, le CLER, ATTAC, Filière paysanne, CFDT, Sud Energie, Alternatiba, Collectif des quartiers populaires Marseille, Agir pour l'environnement …

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5 octobre 2014 7 05 /10 /octobre /2014 21:36

C'est le GLOBAL FRACKDOWN 2014 - Journée Mondiale contre les hydrocarbures "de schiste" et la fracturation hydraulique samedi 11 octobre prochain.
Cette année, cette journée d'événements décentralisés est aussi celle de la lutte en Europe et outre-Atlantique contre les traités de libre-échange intercontinentaux négociés en secret par la Commission européenne, avec d'une part les États-Unis (TAFTA, alias TTIP, NAFTA...), et le Canada d'autre part (CETA, alias AÉCG).
En Europe, plusieurs dizaines - centaines ? - de manifestations conjointes "STOP TAFTA" et "GLOBAL FRACKDOWN" se dérouleront ce 11 octobre. En France, une quarantaine de rassemblements sont annoncés (infos et carte en cliquant sur https://www.collectifstoptafta.org/11-octobre-stop-tafta-ceta-tisa/.

À PARIS, un premier rassemblement est prévu Place Stalingrad à 14:30 pour le public, flash-mob prévue à 14:45. Le cortège - pourvu qu'on soit nombreux ! - s'élancera ensuite vers la Place de la République pour la suite du rassemblement, à côté des camarades anti-nucléaire qui manifesteront là aussi.

À 19h30, salle Jean Dame, 17 rue Léopold Bellan, 75002 Paris,

Jacques Boutault, maire du 2e arr. de Paris, propose une nouvelle projection de La tentation du schiste de Hervé Nisic et Pierre Stoeber

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suivi d'un débat avec Benoit Thévard, Ingénieur en génie énergétique,
Isabelle Levy, Collectif du Pays Fertois en opposition à l'exploration du pétrole de schiste
en présence des réalisateurs.

Laissez-vous tenter !
Une autre projection aura lieu
Vendredi 17 octobre
19h30, café l'Ambassadeur rue de Merlan, 93130 Noisy-le-Sec,
suivi d'un débat avec Pierre Stoeber.
à bientôt j'espère !
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5 octobre 2014 7 05 /10 /octobre /2014 21:31

A la mi-octobre, alors que les parlementaires débattront de l’avenir énergétique du pays, la France accueillera le « World Nuclear Exhibition », premier salon international de la filière nucléaire, au Bourget, près de Paris.
Non contente d’avoir déjà contaminé de nombreuses régions du globe, l’industrie nucléaire française tentera à cette occasion d’exporter son modèle industriel mortifère.
Dans un an, sur le même lieu, se tiendra le sommet international sur le climat (COP 21).
Soyons nombreux pour rappeler que le nucléaire n’est pas une solution au changement climatique !
Notre véritable transition énergétique, climatique et sociale se fera sans lobbies ni fausses solutions. C’est pourquoi le week-end précédant le World Nuclear Exhibition, à l’appel du Réseau "Sortir du nucléaire", des Amis de la Terre et de Attac France, nous vous donnons rendez-vous à Paris pour manifester notre opposition à ce salon indécent et au modèle de société qu’il veut nous imposer !

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Samedi 11 octobre  à  Paris, Place de la République à 14h  happening
-
14h30: départ du cortège
-
16h: retour sur la place de la République pour une grande convergence des luttes avec les manifestations anti-TAFTA et anti-gaz et pétrole de schistes.

 Contact : mobilisations@sortirdunucleaire.fr Tel : 07.60.15.01.23
Consultez l'agenda des actions organisées partout en France sur : http://groupes.sortirdunucleaire.org/agenda/

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5 octobre 2014 7 05 /10 /octobre /2014 19:51

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Les bénévoles et partenaires de l’association Jaccede vous invitent à découvrir la 4e Journée de l’accessibilité le samedi 11 octobre 2014.

Cet événement ouvert à tous est l’occasion de sensibiliser le plus grand nombre à l’accessibilité, de partager des découvertes, et de vivre une expérience unique en se mettant en fauteuil roulant le temps d’un recensement de sa ville.

samedi 11 octobre - Les Lilas - Romainville - Le Pré Saint-Gervais

Qui organise cette Journée ?

Cette année 2014, la Journée de l'accessibilité se déroule pour une deuxième fois aux Lilas après le succès de la première édition qui avait permis de recenser plus d'une cinquantaine de bonnes adresses de lieux accessibles. L'opération prend une nouvelle ampleur en s'étendant sur les communes voisines du Pré Saint-Gervais et de Romainville, car elles appartiennent au même bassin de vie.

Didier, qui avait participé à l'oganisation de l'an dernier, a pris le pilotage de cette journée et a réuni six autres volontaires pour préparer cette action de plus grande envergure : Chantal, Héléna, Lesly, Manuela, Patrick et Stéphanie partagent la même motivation de repérer d'autres lieux accessibles pour faciliter le quotidien des personnes à mobilité réduite. Qu'il s'agisse de lieux privés, comme des magasins ou des restaurants, ou d'établissements publics, l'important pour s'en sortir est de pouvoir... sortir librement ! Mention spéciale au lieu qui nous accueillera à l'issue des tournées de visites, l'hôtel B&B de la porte des Lilas qui vient d'ouvrir et qui possède toutes les caractéristiques pour venir visiter Paris quel que soit son handicap.

Pour plus d’informations ou pour parrainer l’opération, contactez Didier

 

 

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5 octobre 2014 7 05 /10 /octobre /2014 18:57

Samedi 4 octobre Tous pour un vélo qui a aussi un compte facebook  proposait une ballade en vélo sur la piste cyclable du Canal de l'Ourcq.

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Trois dizaines de lilasiennes et lilasiens se sont retrouvés à 10h devant la mairie des Lilas pour ce départ au soleil. Des amateurs, ceux qui aiment le vélo pour de multiples raisons, du jeu au travail, des familles jusqu'à celles ou ceux qui en ont fait un mode de vie.

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Une belle promenade le long du canal sous l'oeil des graph jusqu'à la forêt de Sevran, où nous avons échangé nourritures du corps et de l'esprit. Souhaitons que la prochaine rassemble plus largement encore les usagers et les promoteurs du vélo aux Lilas.

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26 septembre 2014 5 26 /09 /septembre /2014 14:17

Cyberaction N° 643: http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/urgent-relance-imminente-permis-rec-823.html mise en ligne le jeudi 25 septembre 2014. Elle sera envoyée à la Ministre de l'Ecologie et à votre député et prendra fin le vendredi 10 octobre 2014.

Dans le Vaucluse, comme ailleurs en France, en 2011, les intercommunalités et toutes les communes avaient également voté une motion contre la prospection de ce type d’hydrocarbure. Les permis d’alors qui les concernaient directement s’appelaient permis “Provence” et permis “Gargas”. Le permis “Gargas” revient aujourd’hui sous le nom de permis “Calavon” et se “limite” au Vaucluse. Cependant les mêmes aquifères restent concernés.

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Aujourd’hui ce permis est présenté sous la forme d’une demande de prospection de gaz “conventionnel”, mais nous retrouvons finalement les mêmes demandes que précédemment. La notice explicative (l’ensemble des documents n’est disponible qu’à Marseille et à Paris !) alerte d’ores et déjà sur la composition et le traitement ultérieur des “bourbiers” sur la perforation de plusieurs aquifères, sur des rotations annoncées importantes de camions ... rien que pour cette phase de prospection !

Message d’un conseiller général du Vaucluse, Olivier Florens, à propos de la relance de la prospection des gaz de schiste :

Il y a deux ans, je faisais voter une motion anti gaz de schiste par l’Assemblée départementale. Aujourd’hui, l’exploitation du gaz de schiste revient sur le devant de la scène avec le permis Cavalon.
Le gouvernement, sans consultation digne de ce nom (consultation des documents uniquement au ministère de l’écologie, et à la dreal paca) et par simple arrêté ministériel qui sera co-signé par Mme Royal et M. Macron va permettre à la société Téthys Oil de procéder à des forages sur notre territoire sur une superficie de 870 km² au cœur du Luberon.
Une consultation publique est ouverte jusqu’au 10 octobre
A l’issu de cette date, tout peut être envisageable. Alors que la conférence sur la climat s’annonce délicate et que nous sommes entrés dans une phase irréversible, l’entêtement de nos décideurs politiques à s’engager et à soutenir une politique énergétique basée sur les énergies fossiles relève d’une irresponsabilité flagrante.
J’en appelle donc à toutes les associations, collectifs, mouvements citoyens à se mobiliser contre ce projet.

Pour signer :
http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/urgent-relance-imminente-permis-rec-823.html
En fait, il s'avère que c'est une dizaine de projets de permis qui ont été mis en consultation et pour certains la consultation est close depuis le 22/09. En savoir plus :
Permis de Tartas sur le département des Landes.
http://www.consultations-publiques.developpement-durable.gouv.fr/projet-d-attribution-de-permis-a766.html  
Permis de Rouffy-Estheria dans le Bassin de Paris.
http://www.consultations-publiques.developpement-durable.gouv.fr/projet-d-attribution-de-permis-a765.html  
Permis de Dormans952 km2 dans les départements de l’Aisne et de la Marne
http://www.consultations-publiques.developpement-durable.gouv.fr/projet-d-attribution-de-permis-a764.html  
Permis de Cézy-Dicysur les départements de l’Yonne et du Loiret.
http://www.consultations-publiques.developpement-durable.gouv.fr/projet-d-attribution-de-permis-a763.html  
Permis de Calavon sur le Vaucluse
http://www.consultations-publiques.developpement-durable.gouv.fr/projet-d-attribution-de-permis-a762.html  
Permis de Chambrey sur le département de la Moselle.
http://www.consultations-publiques.developpement-durable.gouv.fr/projet-d-attribution-de-permis-a725.html  
Permis de Gastins sur le département de la Seine-et-Marne.
http://www.consultations-publiques.developpement-durable.gouv.fr/projet-d-attribution-de-permis-a726.html  
Permis de Marne sur les départements de la Haute-Marne, de la Meuse, de la Meurthe-et-Moselle et des Vosges
http://www.consultations-publiques.developpement-durable.gouv.fr/projet-d-attribution-de-permis-a728.html  
Permis de Herbsheim sur le département du Bas Rhin.
http://www.consultations-publiques.developpement-durable.gouv.fr/projets-d-attribution-de-permis-a727.html  

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24 septembre 2014 3 24 /09 /septembre /2014 15:31

Les propriétés physico-chimiques des polluants et des gaz à effet de serre (GES) conduisent à les étudier séparément : les GES ont des temps de résidence très longs dans l’atmosphère, à l’inverse des polluants atmosphériques ; leur distribution spatiale est différente. C’est une étude de l’Institut National de l’Environnement Industriel et des Risques (INERIS) sortie hier qui a enfin montré le lien entre les deux (http://www.ineris.fr/propos-de-lineris/qui-sommes-nous/actualit%C3%A9s/qualit%C3%A9-de-l%E2%80%99air-comment-%C3%A9valuer-les-politiques-de-gest), avec une précision des simulations améliorée à un niveau de résolution spatiale encore jamais atteint (12 km).

 

Interactions entre climat et qualité de l’air

L’évolution du climat, qui modifie les caractéristiques physiques de l’atmosphère, a une influence sur la formation des polluants dans l’air (par exemple avec l’augmentation de la fréquence d’épisodes météorologiques extrêmes). Par ailleurs, certains polluants ont une influence sur le climat car ils perturbent l’équilibre des énergies entrantes et sortantes de l’atmosphère terrestre (bilan radiatif).

Les politiques climatiques ont un impact sur la qualité de l’air, car les mesures d’efficacité énergétique modifient les activités humaines, ce qui a pour effet d’influer sur les émissions de polluants et in fine de modifier les réactions chimiques dans l’atmosphère. De leur côté, les mesures de réduction des émissions de polluants ont un effet sur les émissions des GES (ne serait-ce que sur l’ozone, qui est à la fois un polluant et un GES).

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Concentrations moyennes annuelles en PM10 attendues en 2030 (en μg/m3)

Les équipes de l’INERIS ont réalisé des simulations de qualité de l’air à l’horizon 2030 sur la base de scénarios du GIEC (Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’évolution du Climat) correspondant aux hypothèses de réduction d’émissions (dioxyde de soufre, ammoniac, Composés Organiques Volatiles, oxydes d’azote, particules PM2,5, méthane).

Les simulations, effectuées sur l’ozone et les particules (PM2,5 et PM10), montrent comment les hypothèses envisagées permettraient globalement de réduire la pollution atmosphérique et de respecter les objectifs de qualité de l’air sur la plus grande partie de l’Europe, notamment la pollution particulaire. 

Certaines zones fortement urbanisées resteront des « points chauds » de pollution, qui nécessiteront des mesures spécifiques pour respecter les valeurs limites et objectifs de qualité de l’air fixés. En France, sont identifiées la région parisienne, les zones urbaines de Nord-Pas de Calais, de la région Rhône-Alpes, d’Alsace et de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur.

 

Le co-bénéfice des politiques combinées « qualité de l’air/climat » d’ici à 2050 : une stratégie nécessaire pour améliorer à long terme la qualité de l’air

Les mesures de lutte contre le réchauffement du climat et les actions destinées à limiter la pollution atmosphérique interagissent entre elles. Sur l’ozone comme les particules fines, la mise en oeuvre d’une politique de gestion de la qualité de l’air reste le facteur le plus influant sur l’évolution des concentrations globales de polluants, au regard du changement climatique et du transport de polluants sur une longue distance. D’où l’importance de développer des politiques de gestion de la qualité de l’air coordonnées au niveau international.

Par ailleurs, les simulations mettent en lumière le rôle des politiques d’atténuation du réchauffement climatique, qui apportent un bénéfice complémentaire important aux politiques de qualité de l’air.

 

Une diminution globale des concentrations en 2050

L’ozone

Ce gaz est un polluant dit secondaire, car il est issu d’un processus de transformation chimique déclenché par l’interaction d’autres polluants émis par l’activité humaine (NOx et COV, notamment les hydrocarbures) en présence du rayonnement solaire (UV). Ces polluants sont appelés précurseurs de l’ozone.

L’ozone est à la fois un GES et un des polluants ayant la plus forte influence sur la qualité de l’air : il peut créer une gêne respiratoire, des irritations oculaires et des altérations pulmonaires. L’ozone est, en outre, connu pour son impact négatif direct sur la végétation.

L’élévation des températures et l’accroissement du rayonnement solaire reçu à la surface de l’atmosphère ont deux effets : ils accroissent les phénomènes chimiques qui favorisent la formation d’ozone ; ils stimulent les sources d’émissions de précurseurs de l’ozone d’origine humaine, animale ou végétale. Et les « émissions longue distance » ont un effet pénalisant sur les concentrations d’ozone.

Les particules

Composées notamment de substances organiques, métalliques ou minérales, les particules se présentent très fréquemment sous forme d’aérosol, ensemble de particules solides (poussière, fumée) ou liquides (brouillard) en suspension dans l’air. Les effets des particules sur la santé dépendent de leur taille en microns soit 10-6m (elles pénètrent d’autant plus profondément dans l’appareil respiratoire que leur diamètre est faible) et de leur composition chimique (elles peuvent contenir des toxiques, métaux ou HAP).

Les particules primaires sont émises directement par l’environnement ou les activités humaines. Les particules secondaires sont formées dans l’air ambiant par des processus chimiques complexe entre les particules primaires et des composés gazeux. Le soufre, les NOx, l’ammoniac ou les COV sont des précurseurs de particules secondaires.

L’augmentation des précipitations moyennes en Europe contribueraient à diminuer les concentrations en PM2,5. La réduction des émissions de particules en France serait principalement portée par les mesures de gestion déployées dans le secteur des transports et de l’industrie.

Saisonnalité des épisodes

Les oxydes d’azote sont principalement émis par le trafic routier. Les épandages agricoles pratiqués au printemps induisent des émissions importantes d’ammoniac, et dans une moindre mesure de monoxyde d’azote, surtout lorsque les températures sont élevées.

Et en hiver, des conditions météorologiques froides et très stables contribuent à piéger les émissions près du sol, celles-ci étant intensifiées par l’usage du chauffage résidentiel et de la biomasse.

 Simulations-haute-resolution-realisees-avec-le-modele-C.png

Simulations haute résolution réalisées avec le modèle CHIMERE pour les concentrations de NO2

Agir

Atténuer le réchauffement climatique conduit à une augmentation des coûts, mais l’impact de ces mesures sur les concentrations de polluants a pour conséquence une réduction des dépenses de gestion de la qualité de l’air. Au final, le coût financier du scénario adoptant une politique climatique dynamique est un plus élevé que le coût du scénario ne s’appuyant sur aucune politique climatique (+15%). Si on prend en compte les impacts sur la santé dans l’évaluation du rapport coût/bénéfice, les premières analyses aboutissent à un bénéfice net des politiques environnementales combinées.

*  Pour réaliser le programme « air pur pour l’Europe » :

Il faut réviser la Directive sur les plafonds d’émissions nationaux sur les quatre polluants initiaux (SO2, NOx, COV et NH3) et sur deux nouveaux polluants : les particules fines (PM2,5) et le méthane (CH4), un des principaux gaz à effet de serre. Pour les particules, l’accent doit être porté sur la réduction des émissions de noir de carbone, polluant qui a également un impact sur le climat.

 

NB : Les principaux polluants atmosphériques

Ozone (O3) ; Particules (PM2.5 et PM10) ; Oxydes d’azote (NOx) ; Dioxyde de soufre (SO2) ; Composés Organiques Volatiles (COV), dont les Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques (HAP) et le Benzène (C6H6) ; Ammoniac (NH3) ; Monoxyde de carbone (CO) ; Métaux lourds (plomb, mercure, arsenic, cadmium, nickel, chrome, cuivre)

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24 septembre 2014 3 24 /09 /septembre /2014 11:45

confcargill.jpg

Une 100aine de paysans de la Confédération Paysanne occupent actuellement le siège social de Cargill, la 1ère multinationale agro-alimentaire mondiale, pour protester contre la signature dans 2 jours du CETA (accords de libre-échange entre l'Europe et le Canada). Cette action a aussi pour but de dénoncer les négociations en cours sur le TAFTA (ou TTIP, accord de libre-échange entre l'Europe et les USA), qui emboitera le pas au CETA et pour lequel se tient un round de négociations en fin de mois.

Cette occupation vise à dénoncer la prise de pouvoir par les multinationales sur les paysans et citoyens européens et nord-américains et à interpeller Hollande, Juncker et Obama. Pourquoi ?

Une « initiative citoyenne » refusée

En juillet dernier, l’alliance STOP TTIP – plus de 240 mouvements citoyens de 21 pays européens – a déposé une demande à la Commission européenne pour organiser une « Initiative citoyenne européenne » (ICE) demandant l’arrêt des négociations pour les deux accords de libre-échange en cours de négociation avec l’Amérique du Nord , c’est-à-dire, l’accord avec le Canada (CETA) et celui avec les États-Unis (TAFTA). Ce processus, prévu par les traités européens, permet, sur accord de la Commission, d’organiser la collecte de signatures sur une proposition précise, que la Commission devra prendre en compte si un million de signatures sont récoltées en un an.

Le 11 septembre dernier, la Commission a refusé l’« initiative », en se basant sur un raisonnement juridique éminemment contestable pour justifier une décision profondément politique et anti-démocratique. Une décision qui ne surprend guère de la part d’une Commission et d’un Commissaire sur le départ – Karel De Gucht (VLD) – qui fait tout pour conclure lui-même, avant de partir, le traité UE-Canada, prédécesseur et cheval de Troie du TTIP, malgré une participation record à la consultation publique qu’il a lui-même organisé, rejetant sa clause la plus controversée.

Suite à ce refus, l’alliance Stop TTIP ne désarme pas. Une « Initiative citoyenne européenne » sera lancée en mode autogéré ces prochains jours dans le but de mobiliser plus d’un million de citoyens pour stopper les négociations du TTIP et du CETA. Cette action visera directement les gouvernements, parlementaires et la Commission européenne.

En parallèle, Stop TTIP a décidé de faire appel de la décision de la Commission devant la Cour européenne de Justice. Elle considère que le rejet par la Commission Barroso de l’initiative citoyenne est une erreur politique mais aussi juridique. Elle se défendra afin de garantir, à l’avenir, que des accords commerciaux internationaux, que ce soit avec les USA ou avec les pays en développement, ne soient plus négociés dans le secret et sans aucune possibilité d’intervention des citoyens.

Plus d’information sur http://stoptafta.wordpress.com/ et sur ce blog

écolo ! N°16 : tafta ou ttip : le traité de libre-échange transatlantique signerait la fin du…

Le grand marché transatlantique ne doit pas se faire !  

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